Équité salariale

two smiling women sitting in an office

Le gouvernement du Canada a fait de l’égalité des sexes une pièce maîtresse de son programme. Pourtant, dans le secteur public fédéral, les disparités salariales fondées sur le sexe continuent de contribuer à l’écart de rémunération entre les hommes et les femmes, laissant les personnes dans des emplois généralement occupés par des femmes moins bien payées et moins appréciées.


La Loi sur l’équité salariale, entrée en vigueur en août 2021, exige des employeurs qu’ils établissent de manière proactive un plan d’équité salariale dans un délai de trois ans. Cette loi a pour objet de garantir une rémunération égale pour l’exécution d’un travail de valeur égale. Si deux postes contribuent de façon équivalente aux activités de l’employeur, les titulaires de ces postes devraient recevoir la même rémunération.

L’ACEP est une voix forte en faveur de plans d’équité salariale significatifs et efficaces qui établissent une rémunération égale pour un travail de valeur égale dans l’ensemble du secteur public. Lorsque le Conseil du Trésor a demandé l’établissement de trois plans distincts pour l’administration publique centrale, l’ACEP, ainsi que d’autres agents négociateurs, a réussi à faire rejeter cette demande, car elle allait à l’encontre de l’esprit de la loi.

Toutes les personnes qui travaillent dans le secteur public méritent d’être appréciées, respectées et rémunérées équitablement. L’ACEP s’engage à lutter contre l’écart salarial entre les hommes et les femmes et à contribuer à la mise en place de pratiques et de systèmes de rémunération plus justes et plus équitables.
 

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