Ce que vous pouvez faire concernant le retour forcé sur les lieux de travail

L’ACEP a préparé cette ébauche de lettre que vous pouvez envoyer à votre députée ou député à partir de votre compte courriel personnel en vue de lui faire part de vos préoccupations concernant le retour obligatoire sur les lieux de travail à temps partiel des fonctionnaires de l’administration centrale du secteur public fédéral à compter du 16 janvier 2023. 

N'hésitez pas à modifier la lettre comme bon vous semble. Veuillez prendre note qu'elle doit être envoyée à votre député en votre nom personnel, et non pas en celui de l'ACEP, pour obtenir de meilleurs résultats.

Bon nombre d’entre vous ont communiqué avec l'ACEP pour exprimer votre frustration face à cette décision précipitée. Pendant que nous continuons à appliquer diverses stratégies et tactiques pour faire pression sur le Conseil du Trésor en vue de mettre fin au retour obligatoire sur les lieux de travail, une mesure irresponsable, irréfléchie et mal ficelée, nous vous exhortons à communiquer avec les parlementaires qui vous représentent pour leur faire part de vos préoccupations, car nous estimons que cette mesure est motivée par des considérations politiques plutôt que par des besoins opérationnels.

En plus de l'envoi de cette lettre à votre députée ou député, les démarches suivantes peuvent être envisagées :

  1. écrivez à votre gestionnaire pour lui faire part de vos préoccupations;
  2. consultez le site Web de l’ACEP pour connaître les dernières mises à jour, inscrivez-vous pour recevoir les mises à jour par courriel et suivez-nous sur les médias sociaux (Twitter - français,Twitter – anglais, Facebook, Instagram, LinkedIn)
  3. renseignez-vous sur vos droits : préoccupations relatives à la santé et à la sécurité concernant les plans de retour sur les lieux de travail durant la pandémie de COVID-19
  4. communiquez avec l’ACEP pour lui faire part de vos préoccupations, qui seront traitées par notre équipe des relations de travail.

Veuillez aussi prendre note que des discussions sont en cours entre l’ACPE et d’autres syndicats en vue d’élaborer une réponse coordonnée.